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AIX et ARLES

Diocèse

Bienvenue sur le site de la paroisse de La Fare-les-Oliviers

Oratoire de Saint-Jacques

En 2011, à l'initiative de Jean-Pierre Ollier, une équipe de bénévoles a construit cet édicule de pierre au bord de la "bretelle farenque" qui rejoint le chemin de St jacques vers Lançon-de-Provence.  VOIR  La construction de l'oratoire

L'oratoire est béni le 28 mai 2012 par le curé de la paroisse, le P. François-Régis MICHAUD, en présence du maire, M. Olivier GUIROU.   VOIR  La bénédiction

Croix de mission (Sicard)

Une croix de mission fut érigée en 1786. Etait-ce celle qui marquait le départ du chemin de Sainte-Rosalie et des Bastides et qu'indique le cadastre de 1832/1833 et que remplaça la croix Sicard visible aujourd'hui ? Nous savons seulement qu'en 1860 on qualifiait l'édicule du haut du cours de « croix de mission ».  En 1895, la famille Sicard réaménagea le tout et y fit inscrire : « Aux anciens du pays et à leur chère mémoire 1895 O cieux avé ».  ( La Fare-les-Oliviers   « Le Temps Retrouvé » )

Croix de mission (Grande Bastide)

Une lettre du maire rend compte au s/Préfet du département du déplacement de la Croix de la Grande Bastide à la seconde gare de la RD7, près du village. Il s'agit sans doute de la croix existant à l'est de la place de la Coopérative vinicole, croix déplacée légèrement en 1930, lors de la construction de la Coopérative en question. ( Monographie historique de La Fare les Oliviers )

Croix de mission, janvier 1781

Située devant la chapelle Sainte-Rosalie, cette croix aurait remplacé une croix primitive de bois (coût 312 livres: aux moindres frais avait demandé la population) plantée en janvier 1781 pour clôturer une mission. La croix actuelle, au moins pour sa partie ferronnerie, daterait de la 2nde moitié du XIXe siècle. Les inscriptions sont illisibles.

Croix de mission 1865

Sur le chemin des Bons Enfants, cette croix a été transférée depuis le carrefour des Guigues sur la D113 lors de l'aménagement du carrefour des Quatre Chemins il y a quelques années. On peut y lire : « Jubilé et mission de 1865 ».

Oratoire de Sainte-Rosalie

Dressé en 1722, il fut, jusqu'au milieu du XIXe siècle, le seul édicule sacré sur les hauteurs, au nord des Bastides. Rénové il y a peu, il garde sa physionomie primitive. On peut lire cette inscription: « Ici la peste s'arrêta en 1720 » et sur le fer de la petite porte : « SANTA ROSALIA orapronobis 1722 ».  Cette épidémie,  venue d'Orient par le navire le Grand saint Antoine, fit 50 000 morts à Marseille et 30 000 dans le reste de la Provence. Sans doute l'isolement du village avant la construction du pont de l'Arc, son site collinaire des Bastides permirent-ils de se prémunir contre le fléau.     

 Voir Sainte Rosalie

Oratoire de Saint-Louis de Gonzague

Situé au quartier de la Pomme de Pin (carrefour du centre du hameau), il fut restauré en 1925 et recrépi récemment. Il est aujourd'hui encastré dans le mur de clôture d'une propriété privée.  Ce saint qui est le Saint-Louis provençal, possède un autel dans l'église du village.

Voir Saint Louis de Gonzague

Niche de Notre-Dame des 4 chemins

Cette statue en bois recouverte de plâtre, haute de 55cm,  figurait dans la niche située à l'angle de la maison Cours/Grand Rue et datant de 1825. Le personnage coiffé d'une mître passe pour être saint-Eloi, mais il pourrait tout aussi bien s'agir de Saint-Nicolas ou de saint Alexandre, évêque de Jérusalem mort vers 250 ou encore le patriarche d'Alexandrie mort vers 326. La niche est toujours en place aujourd'hui, mais elle est vide.

Oratoire de Saint- Eloi

Tout naturellement situé en campagne, cet oratoire dédié au patron des forgerons et des ménagers (agriculteurs aisés) marquait la limite sud du village (angle du Cours Briand et du Bd Joliot-Curie). Dressé en 1684 dans le quartier du même nom, et reconstruit après son déplacement en 1928, on peut y lire « Saint-Eloi 1928 ». La dévotion à saint Eloi est attestée quant à elle dès les années 1650/1680, après une épizootie, lorsqu'un paroissien voulut ériger un autel pour ce saint dans l'église. Voir Saint Eloi

Oratoire de Sainte-Anne

Elevé à l'origine aux Bastides, cet oratoire  est rebâti en 1937 en pierre de Rogne, aux Vignons. Les enterrements s'y arrêtaient en se rendant au cimetière.  Il porte l'inscription : « Sainte Anne….. PP/Y 1937 » (pontificat de Pie XI ?)

Voir Sainte Anne


Description



Oratoire de Notre-Dame

Le plus ancien et le plus harmonieux des oratoires du village  est  érigé à la gloire de la Vierge Immaculée en 1665, au début du chemin des Guigues. Construit par la famille TROUMP, tailleurs de pierre, il présente une  niche carrée encadrée de pilastres sur un pilier en pierres de Calissanne et un fronton Renaissance.

Sous une statue de la Vierge, on peut  lire : « Notre-Dame immaculée. Protégez-nous ».


Croix et Oratoires




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Manifestations de foi et de reconnaissance, les oratoires sont assez nombreux à La Fare …

Parmi les édicules recensés, très peu conservent leur esthétique d'origine.


Une croix de carrefour, au moins, devait disparaître vers 1825/1830 : elle était située au coin du cours et de la Grand Rue et figurait encore sur un plan de 1817. Il s'agissait peut-être de la croix de mission dressée solennellement le 2 février 1750 « près des cabarets », sans doute pour braver ces repaires de Satan que les hommes fréquentaient plus volontiers que la messe.


Parmi les statues placées aux angles des maisons, il faut signaler celle qui ornait la niche de la maison du coin Cours/Grand Rue, celle de Sainte-Anne, mère de la Vierge, dans une niche au coin de la rue de Verdun et de l'avenue Clémenceau. Date-t-elle de 1796 comme la maison qui la supporte ou fut-elle rajoutée ultérieurement ? Dans le premier cas, il s'agirait d'une des premières manifestations d'un retour à la pratique religieuse après la tourmente révolutionnaire.

( La Fare-les-Oliviers   « Le Temps Retrouvé » )